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]]>Le/La candidat(e) idéal(e) possède de solides compétences en gestion de projet, d’excellentes aptitudes à la communication écrite et verbale, et est à l’aise pour gérer et établir des relations dans divers types d’organisations. Il/Elle est compétent(e) pour apporter une lentille intersectionnelle, reflétant la diversité, l’équité et l’inclusion. La onseillère régionale représente Femmes et sport au Canada dans la province de la Nouvelle-Écosse. Il/Elle travaille en étroite collaboration avec les services du marketing et des communications et du développement de programmes afin de localiser son travail.
Impliquer et servir les organismes et les leaders de SPAR en Nouvelle-Écosse
Coordonner les acteurs du système pour les femmes et le sport au niveau provincial, avec des liens nationaux
Rechercher de manière proactive des possibilités de financement supplémentaire dans la province pour les projets
Représenter les besoins de la Nouvelle-Écosse au sein de Femmes et sport au Canada et du travail national de l’organisme
Autres tâches au besoin
Détails
Nous assurons l’égalité des chances en matière d’emploi à tous les candidats et employés et ne pratiquons aucune discrimination fondée sur la race, l’ascendance, le lieu d’origine, la couleur, l’origine ethnique, la citoyenneté, la croyance, le sexe, l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression de genre, l’âge, le casier judiciaire, l’état civil, la situation familiale, le handicap ou toute autre caractéristique protégée par la législation locale.
Nous accueillons et encourageons les candidatures de personnes ayant un handicap. Des aménagements sont disponibles sur demande pour les candidats prenant part à tous les aspects du processus de sélection.
La date limite de candidature est le dimanche 9 janvier 2022. Les candidates et les candidats doivent soumettre leur lettre de motivation et leur curriculum vitæ sur la plateforme Submittable : https://cws.submittable.com/submit/211296/conseillere-regionale-nouvelle-ecosse-2021
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]]>The post Bulletin decembre : Récapitulation du chapitre 2021 : Les leçons à tirer pour la nouvelle année appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Comme ça, tout simplement, l’année 2021 touche à sa fin.
Quelle année nous avons eue! Entre les Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo 2021, le succès des femmes canadiennes dans de nombreux sports et l’élan que nous continuons à voir pour construire un sport plus inclusif au Canada, cette année a été bien remplie! Découvrez quelques-unes des leçons que nous avons tirées cette année.
Vous avez une initiative ou un événement lié à l’équité des genres que vous aimeriez partager? Remplissez le formulaire suivant et il pourrait être présenté dans notre ou nos prochains bulletins.
Alerte COVID : Impact de la pandémie sur les filles dans le sport
La principale conclusion de l’étude montre qu’une fille canadienne sur quatre (âgée de 6 à 18 ans) qui pratiquait un sport au moins une fois par semaine avant l’apparition de la COVID-19 ne s’engage pas à reprendre le sport une fois les restrictions de la COVID-19 levées. Lisez le rapport pour savoir comment vous pouvez contribuer à changer ces statistiques.
L’équité des genres chez les entraîneurs
Les données actuelles sur les entraîneurs indiquent que les femmes sont sous-représentées chez le personnel entraîneur, tant au niveau national qu’international. C’est pourquoi nous nous sommes associés à l’Association canadienne des entraîneurs (ACE) pour établir le Cadre de travail sur l’équité des genres chez les entraîneurs et l’outil d’auto-évaluation afin d’identifier les principaux domaines dans lesquels des changements organisationnels sont nécessaires pour améliorer les conditions des femmes dans le domaine de l’entraînement.
Utiliser l’équité des genres comme outil pour combattre la violence liée au sexe dans le sport
Bien que la recherche n’ait pas étudié la relation explicite entre l’équité des genres et la violence liée au sexe dans le sport, la recherche en dehors du sport révèle deux perspectives : les femmes en tant qu’agentes de changement et le paradoxe du pouvoir. Découvrez des moyens de réduire la violence liée au sexe grâce à l’équité des genres dans notre nouvel outil.
Stratégies gagnantes : rapport sur le Manuel de l’équité des genres
Ce rapport met en lumière les principaux enseignements, triomphes, défis et visions de croissance qui peuvent être utilisés pour orienter les politiques, les investissements et les actions à grande échelle dans le système sportif. C’est aussi l’occasion de célébrer l’engagement des organisations à l’égard du Manuel en faveur d’un changement réel et efficace.
Expériences sportives des femmes et des filles NAPC au Canada
Cette ressource est utile aux leaders et aux organismes de sport pour comprendre les expériences vécues par les femmes et les filles canadiennes issues des communautés NAPC et pour identifier les meilleures pratiques afin d’aborder les obstacles auxquels elles sont confrontées dans la pratique du sport. Consultez l’enregistrement du webinaire.
Maximiser l’impact de la formation sur l’équité des genres, la diversité et l’inclusion
Le MÉMO de l’équité des genres est un module d’apprentissage en ligne conçu pour aider les leaders de sport à appliquer l’équité des genres dans leurs décisions quotidiennes. Les formations de ce type constituent un premier pas essentiel vers le changement. Mais, comme beaucoup d’entre nous, votre apprentissage peut s’arrêter à la fin de la formation.
Nous souhaitons à tous nos sympathisants, nos partenaires et vos familles de bons moments de repos et de joie alors que nous entrons dans un nouveau chapitre. Merci de nous soutenir et d’être des agents du changement, et nous vous retrouverons en 2022 pour poursuivre la lutte pour l’équité des genres.
Vous avez une initiative en matière d’équité des genres que vous souhaitez partager? Cliquez ici.
Merci de nous lire!
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]]>The post Bulletin novembre : Aider à former davantage d’entraîneures appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Les entraîneurs sont les leaders les plus visibles et les plus influents du sport mais, malheureusement, nous savons que les femmes sont sous-représentées dans les rôles d’entraîneurs (Femmes et sport au Canada, rapport Le signal de ralliement, (2020).
Nous nous sommes associés à l’Association canadienne des entraîneurs (ACE) pour combattre ce problème en créant le Cadre de travail et l’Outil d’auto-évaluation sur l’équité des genres chez les entraîneurs, qui aident les organisations à identifier leurs points forts et les possibilités d’amélioration. Les nouveaux outils interactifs seront fourniront aux organisations les ressources dont elles ont besoin pour cultiver un paysage d’entraîneurs plus équitable au sein de leurs communautés. Pour en savoir plus et accéder aux outils, visitez notre page Web sur l’équité entre les genres dans l’entraînement.
Consultez notre dernier billet de blogue sur la situation actuelle des entraîneures dans le système sportif canadien! Apprenez où en sont les entraîneures dans le sport communautaire et de haut niveau et quelles sont les répercussions de la participation des filles à l’activité physique sur ces statistiques.
Inscrivez le 23 novembre à 12 heures (heure de l’Est) dans votre agenda pour un prochain webinaire afin d’en savoir plus sur l’équité des genres dans l’entraînement. Gardez un œil sur notre portail social pour plus de détails.
Vous avez une initiative ou un événement lié à l’équité des genres que vous aimeriez partager? Remplissez le formulaire suivant et il pourrait figurer dans notre (nos) prochain(s) bulletin(s) d’information.
Merci de votre lecture!
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]]>The post S’engager pour faire participer plus de femmes dans le monde du sport : Ce que les organisations peuvent faire pour soutenir les femmes dans le domaine de l’entraînement appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Tokyo 2020 a été un été de triomphe pour les athlètes féminines canadiennes. Plus de 60 % des 371 athlètes olympiques canadiens et 75 % des médaillés canadiens à Tokyo se sont identifiés comme des femmes ou des personnes de genre différent.1 Cependant, les femmes ne représentaient que 16 % des 131 entraîneurs canadiens qui ont participé à l’événement.2 Bien que les athlètes canadiennes soient représentées sur la scène mondiale, les entraîneures sont toujours exclues du jeu.
Au niveau collégial et universitaire, les femmes ne sont pas mieux loties, puisque seulement 26 % d’entre elles dirigent des équipes féminines et que 3 % seulement dirigent des équipes masculines au sein de l’Association canadienne du sport collégial (ACSC) et de U SPORTS.7 Au niveau de la base au Canada, on estime que seulement 34 % des entraîneurs sont des femmes.3 Les données sont claires : les femmes sont sous-représentées dans le domaine de l’entraînement à tous les niveaux du sport au Canada. Il est important de se demander pourquoi?
Obstacles à l’entraînement
Les systèmes sociétaux et institutionnels sont à l’origine des obstacles que rencontrent les femmes dans l’entraînement. Il existe de multiples facteurs complexes qui se croisent et qui peuvent entraver la carrière d’entraîneur des femmes. Les entraîneures sont affectées personnellement et professionnellement par les stéréotypes, la discrimination et les cultures organisationnelles sexuées qui favorisent les opportunités d’avancement pour les hommes. Ces obstacles se multiplient lorsque les leaders et les organisations pensent que les femmes doivent assumer la responsabilité de naviguer et de surmonter ces obstacles plutôt que de reconnaître que le système est défaillant et doit changer.
Par exemple, les récits qui rejettent la faute sur les femmes se concentrent sur l’individu plutôt que sur les barrières sociales et organisationnelles très réelles qui dissuadent ou excluent les femmes de l’entraînement.4 Le tableau suivant fournit des exemples courants.
Récits sur la faute des femmes4 | Ce que les organisations devraient prendre en compte | Les questions que les organisations devraient poser |
---|---|---|
« Les femmes ne postulent pas aux postes vacants » | Les femmes se heurtent à de multiples obstacles lorsqu’elles postulent à des postes, notamment le fait de ne pas faire partie du réseau des « vieux amis », la perception des organisations comme étant peu accueillantes ou peu favorables, et le manque de transparence des processus d’embauche. | Avons-nous activement recruté des femmes pour se présenter à ce poste? Comment pouvons-nous atteindre plus de femmes avec nos communications et notre marketing? Quelles sont les femmes de notre réseau (ou au-delà) que nous pouvons approcher activement pour qu’elles postulent? |
« Les femmes ne sont pas aussi intéressées par l’entraînement que les hommes » | Les hommes sont socialisés à se voir comme des athlètes et des entraîneurs, alors que les femmes luttent constamment contre ce discours sociétal. Cela crée un cycle malheureux où les femmes ne voient pas d’autres femmes entraîner et ne peuvent donc pas « voir pour être » | Comment aidons-nous les femmes à se voir comme des entraîneures dans notre organisation (p. ex., dans notre matériel de marketing, représentation dans les postes de direction, etc.)? |
« Les femmes ne sont pas aussi qualifiées que les hommes » | Le sport moderne a été créé par et pour les hommes et les postes de direction sont exclusivement occupés par des hommes (Anderson, 2009). Par conséquent, ce que nous considérons comme ayant de la valeur ou ce que nous définissons comme « qualifié » est souvent issu de ce point de vue privilégié et dominé par les hommes. Ce point de vue privilégie également les garçons et les hommes qui bénéficient de plus d’avantages en tant qu’athlètes et entraîneurs. | Avons-nous activement encadré et parrainé des femmes pour des rôles dans l’entraînement? Quelles mesures proactives prenons-nous pour encourager les femmes de notre organisation à développer leurs compétences en entraînement? Quelles suppositions sexuées faisons-nous lorsque nous parlons des capacités d’un(e) entraîneur(e) qualifié(e)? |
« Les femmes ayant des enfants sont moins engagées » | Les femmes ont été socialisées pour prendre en charge les soins et les responsabilités ménagères. Les processus au sein des organisations ont également favorisé et pris en considération ce dont les hommes ont besoin pour réussir. Les femmes ne sont pas moins engagées; il se peut simplement que les organisations n’aient pas tenu compte de ce dont les femmes ont besoin pour réussir | Comment pouvons-nous offrir un environnement plus favorable aux parents entraîneurs? Quelles sont les structures de notre organisation qui présentent des obstacles pour les femmes ayant des enfants? Avons-nous des services de garde d’enfants rémunérés sur place? |
En plus des deux poids, deux mesures (c.-à-d., le fait d’exiger des entraîneurs féminins des normes plus élevées ou différentes de celles des hommes, de payer les femmes moins que les hommes ayant une expérience comparable, de fournir moins de ressources et de soutien aux entraîneurs féminins, etc.), les récits sur les fautes des femmes continuent de consolider et de maintenir un système sportif inéquitable.4
Changer le système pour changer le jeu
Bien qu’aider les femmes à s’orienter dans le système soit une étape cruciale pour accroître la représentation dans le domaine de l’entraînement, il convient de se concentrer davantage sur l’amélioration des organisations et du système sportif pour garantir un changement durable. Il incombe aux organisations de s’opposer au statu quo, de vérifier les hypothèses et les préjugés et de faire progresser activement l’équité des genres dans l’entraînement. Pour que ce travail soit couronné de succès, il faut que les organisations cultivent une culture où la diversité et l’inclusion sont valorisées et vécues au quotidien, plutôt que d’avoir des initiatives ponctuelles en matière de diversité et d’inclusion.5
Cinq mesures que les organisations peuvent prendre :
1. Créez des parcours de formation en entraînement clairs et crédibles et faites-en la promotion, avec un soutien pour les femmes à chaque étape de leur carrière5
Pour que les femmes puissent progresser dans le domaine de l’entraînement, il faut que les voies d’accès soient visibles et que les possibilités de développement des entraîneures soient claires. Ces opportunités devraient refléter des cultures d’apprentissage et pas seulement des séries de qualifications utilisées pour évaluer la compétence actuelle des entraîneures. Les cours de formation en entraînement ne doivent pas se limiter à des évaluations et à un passage obligé pour devenir entraîneur au niveau suivant, mais doivent plutôt être des opportunités d’apprentissage et de développement.5 Le soutien doit également aller au-delà des cours de formation et des qualifications des entraîneurs. Les organisations devraient définir leurs propres processus de soutien aux entraîneurs par le biais des filières de développement des entraîneurs de leurs ONS ou OPS.
2. Mettez en œuvre des politiques de recrutement, d’embauche et de maintien en poste qui recherchent explicitement les femmes
Les organisations peuvent prendre les devants en s’engageant à recruter et à promouvoir des entraîneures en fixant des objectifs clairs quant au nombre d’entraîneures à tous les niveaux de l’organisation. Veillez à inclure des échéances et des contrôles pour atteindre les objectifs définis. Créez des réseaux diversifiés et développez une liste de succession de femmes talentueuses pour occuper des postes en entraînement.6 Faites participer les entraîneures et les leaders au processus de recrutement et d’embauche et s’engager à constituer un bassin de candidates diversifié. Pour garder en poste les entraîneurs, les organismes doivent faire preuve de souplesse pour répondre aux divers besoins des entraîneures et s’assurer que les entraîneurs sont rémunérés en fonction de leur niveau de compétence.4 Proposer des contrats à long terme peut également contribuer à créer des conditions de travail stables.
3. Remettez en question et éliminez les stéréotypes et les préjugés discriminatoires à l’égard des femmes
Notre cerveau regroupe les gens en fonction de ce que nous savons ou supposons à leur sujet, comme l’âge, le genre, la couleur de la peau, les revenus, les capacités ou l’éducation. Notre cerveau utilise ces regroupements pour porter des jugements sans même que nous le sachions. C’est ce qu’on appelle les biais inconscients. Si nous n’identifions pas intentionnellement nos biais inconscients, nous courons le risque que ceux-ci influencent notre prise de décision, ce qui pourrait conduire à des injustices à l’encontre de groupes d’individus et nuire à nos efforts pour améliorer l’inclusion. Une première étape pour contrer nos biais inconscients est d’en apprendre davantage sur les différents types afin de pouvoir les contrer activement. Par exemple, un préjugé sexiste inconscient qui associe les hommes au leadership peut inciter les décideurs à choisir des hommes plutôt que des femmes ou d’autres personnes de genre différent pour des rôles dans le domaine de l’entraînement. Voici quelques types de biais et comment vous pouvez les contrer :
4. Aidez activement les femmes à établir des relations au sein de votre organisation et du système sportif par le biais du mentorat et du parrainage
Les organismes ne doivent pas se contenter de faire entrer un plus grand nombre de femmes dans le monde de l’entraînement, mais s’assurer qu’une fois qu’elles y sont arrivées, l’organisme leur offre un soutien actif et des conseils pour qu’elles puissent se développer et progresser. Comme les femmes ne font pas souvent partie du « club des gars », qui continue d’être omniprésent dans le système sportif canadien, le mentorat et le parrainage sont des processus clés pour s’assurer que les femmes bénéficient d’un réseau de collègues et d’occasions de soutien précieux.
« Il doit s’étendre à une culture de parrainage dans les interactions quotidiennes et à un style de gestion positif de la part de ceux qui encadrent les entraîneurs et les tuteurs. Le parrainage a un objectif explicite de promotion par l’exposition à des opportunités et des relations pour améliorer la promotion et les capacités des entraîneurs et des tuteurs. Une fois de plus, il est fondé sur une hypothèse de base de la valeur des femmes dans ces rôles plutôt que d’être simplement une autre stratégie ou initiative. »5 – Norman, Rankin-Wright et Allison (2018)
5. Complétez l’outil d’auto-évaluation de l’équité des genres dans le domaine de l’entraînement pour identifier les domaines de meilleures pratiques et de croissance dans votre organisation
Le cadre de l’équité des genres dans l’entraînement se concentre sur les facteurs clés que l’organisation peut contrôler, en guidant les leaders sportifs vers des changements significatifs et durables qui amélioreront les résultats pour les femmes dans l’entraînement. Ces facteurs sont les suivants :
Complétez l’outil d’auto-évaluation de l’équité des genres dans le domaine de l’entraînement afin de déterminer les points forts de votre organisation et les points d’amélioration potentiels pour faire progresser l’équité des genres dans l’entraînement.
Nous sommes là pour vous aider! Pour collaborer avec Femmes et sport au Canada en vue d’améliorer le soutien aux entraîneures et d’instaurer une meilleure équité des genres au sein de votre organisation, communiquez avec nous à [email protected].
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]]>The post Encourager un mode de vie actif appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Dans le cadre de cette série interactive en six parties, les responsables des loisirs et des sports apprendront comment encourager les femmes adultes à adopter et à maintenir un mode de vie actif. Les animateurs se pencheront notamment sur la diversité qui caractérise les femmes adultes et sur la pluralité de leurs identités intersectionnelles, en accordant une attention particulière aux femmes de 55 ans et plus, aux nouvelles mères, aux femmes autochtones et aux nouvelles arrivantes.
Lors de ces séances d’une durée de 90 minutes, les participants découvriront les différentes motivations qui incitent les femmes à participer et apprendront à appliquer des stratégies qui permettent d’accroître la participation des femmes adultes à des programmes axés sur une vie active. Chaque présentation mettra l’accent sur des études de cas fondées sur des programmes remarquables et mettra en vedette des conférenciers locaux qui ont dirigé avec succès des programmes de loisirs et de sport s’adressant aux femmes. La série d’ateliers a été rendue possible par le gouvernement du Canada.
Voir détails et inscription ci-dessous.
Mar. 16 novembre 2021 | 15 h 00 – 16 h 30 HNE | Présenté en anglais
jeu., 18 novembre 2021 | 12:00 – 13:30 EST | Présenté en Français
Présentatrices
Françoise Uwamariya fournira des informations sur les femmes adultes au Canada et soulignera ce que nous avons trouvé qui fonctionne bien pour engager les femmes dans la vie active.
Pauline Kamugisha de la Fédération du sport francophone de l’Alberta présentera ElleBouge 55+, une campagne qui vise à encourager les femmes à devenir plus actives physiquement. La présentation mettra en vedette des femmes francophones de 55+ qui ont surmonté leur peur d’être jugées et ont trouvé leur propre façon de faire de l’activité physique.
Dominique Perrault de Femmes-Relais Saint-Michel présentera un programme d’activité physique pour les femmes nouvellement arrivées et partagera comment le programme les a aidées à rencontrer des amis et à créer des réseaux pour maintenir un mode de vie actif.
Cette séance est présentée par l’Association canadienne des parcs et loisirs, en partenariat avec Femmes et sport au Canada et l’Association québécoise du loisir municipal.
mer. 8 décembre 2021 | 11:00 DU MATIN | Présenté en anglais
mar. 18 janvier 2022 | 14 h 00 – 15 h 30 HNE | Présenté en anglais
Détails à venir !
mar. 18 janvier 2022 | 14 h 00 – 15 h 30 HNE | Présenté en anglais
Détails à venir !
mar. 18 janvier 2022 | 14 h 00 – 15 h 30 HNE | Présenté en anglais
Détails à venir !
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]]>The post Femmes et sport au Canada et l’Association canadienne des entraîneurs lancent de nouveaux outils pour faire progresser l’équité entre les genres en entraînement appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Les entraîneurs et entraîneures sont les leaders qui jouissent de la plus grande visibilité et de la plus grande influence dans le domaine du sport. Ils et elles façonnent les expériences vécues au quotidien par les participants et participantes et jouent un rôle dans la croissance et le développement du sport. Les données actuelles indiquent que les femmes sont sous-représentées parmi les entraîneurs, tant au niveau national qu’international.
L’Association canadienne des entraîneurs a signalé que, parmi les personnes qui ont mentionné suivre un cours du Programme national de certification des entraîneurs (PNCE) et l’ont enregistré dans le Casier (un système de suivi en ligne dédié) en 2019, seulement 34 % étaient des femmes, contre 66 % d’hommes et 0,1 % d’un autre genre (Femmes et sport au Canada, rapport Le signal de ralliement, [2020]). Pour en savoir plus sur le paysage actuel du monde des entraîneurs au Canada, consultez le dernier billet du blogue de Femmes et sport au Canada.
Afin d’augmenter le nombre de femmes dans le domaine de l’entraînement, les nouveaux outils d’équité entre les genres en matière d’entraînement aideront les leaders de sport à tous les niveaux du système à améliorer les conditions pour les entraîneures.
Le Cadre de travail sur l’équité des genres chez les entraîneurs se concentre sur les facteurs qui sont sous le contrôle d’une organisation, en guidant les leaders du sport vers des changements significatifs et durables qui amélioreront les résultats pour les femmes dans le domaine de l’entraînement, tandis que l’Outil d’auto-évaluation de l’équité des genres chez les entraîneurs détermine les domaines de force d’une organisation et les possibilités d’amélioration, en offrant des recommandations fondées sur des preuves pour faire progresser l’équité des genres chez les entraîneurs via une plateforme en ligne.
« Faire progresser l’équité des genres dans le domaine de l’entraînement est une priorité pour l’Association canadienne des entraîneurs. Grâce à notre travail de collaboration pour concevoir ce nouvel outil d’évaluation, nous pouvons soutenir davantage les organisations à travers le Canada pour déterminer les domaines dans lesquels elles réussissent déjà, et les étapes qu’elles doivent prendre pour réaliser un environnement d’entraînement plus équitable. »
Lorraine Lafrenière, chef de la direction de l’Association canadienne des entraîneurs.
« Les preuves sont claires : plus d’entraîneures à tous les niveaux aura un impact positif sur l’engagement des filles et des femmes et améliorera l’expérience de chacun et chacune, indépendamment du genre. Il n’y a pas de meilleur moment pour lancer ce cadre et ce nouvel outil afin d’aider à accroître l’inclusion des femmes dans les postes d’entraîneurs et de dirigeants dans le sport. Nous avons écouté attentivement les organismes de sport qui nous ont dit que l’augmentation du nombre d’entraîneures dans leur sport était une priorité absolue. Nous sommes fiers de travailler avec l’Association canadienne des entraîneurs pour offrir ces nouvelles solutions. »
Allison Sandmeyer-Graves, directrice générale, Femmes et sport au Canada
Pour accéder à l’outil d’auto-évaluation de l’équité entre les genres, veuillez cliquer ici.
Visitez la page d’accueil de l’équité entre les sexes dans le coaching.
Femmes et sport au Canada et l’Association canadienne des entraîneurs organiseront également un séminaire en ligne gratuit sur l’équité entre les genres chez les entraîneurs le 23 novembre 2021, afin de permettre à la communauté d’apprendre à utiliser le cadre et l’outil d’auto-évaluation.
Ces ressources et opportunités sont disponibles gratuitement et ont été rendues possibles grâce au soutien de Sport Canada. Nous sommes reconnaissants de leur engagement continu à élargir les possibilités pour les femmes dans le domaine de l’entraînement.
À propos de l’Association canadienne des entraîneurs
L’Association canadienne des entraîneurs unit les intervenants et les partenaires dans son engagement à rehausser les compétences et la stature des entraîneurs et des entraîneures et, en bout de ligne, à étendre leur portée et leur influence. Grâce à ses programmes, l’ACE permet aux entraîneurs et aux entraîneures d’acquérir des connaissances et des compétences, de promouvoir l’éthique, de favoriser des attitudes positives, de renforcer les compétences et d’accroître la crédibilité et la reconnaissance des entraîneurs et des entraîneures.
Personnes-ressources :
Natasha Cyrille, [email protected], coordonnatrice, Marketing et des communications, Femmes et sport au Canada
Anick Michel, [email protected], gestionnaire, Marketing et communications, Association canadienne des entraîneurs
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]]>The post Femmes et sport au Canada accueille les nouveaux membres de son conseil d’administration appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Lara apporte une richesse de connaissances et d’expériences acquises au cours de ses 18 années de service public dans plusieurs rôles. Son expertise en matière d’engagement des parties prenantes et de prise de décisions au sein du gouvernement permettra à Femmes et sport au Canada d’améliorer l’efficacité de ses relations avec les gouvernements à tous les niveaux. Les gouvernements sont des partenaires essentiels dans le processus de changement de système au profit de toutes les femmes et filles dans le sport. Lara apporte également au conseil d’administration une profonde expérience personnelle du sport en tant qu’athlète, entraîneure et administratrice de sports.
Lara se joint à Femmes et sport au Canada aux côtés de Natalie Marcuzzi, une jeune directrice du programme Girls on Boards de FORA: Network for Change. Natalie travaille dans le domaine des marchés financiers à la RBC et apporte au conseil d’administration une forte perspective d’athlète en tant que joueuse récente des Toronto 6. Nous sommes ravis d’accueillir Natalie au sein du conseil d’administration pour un mandat d’un an en tant que membre ex officio afin de soutenir son développement en tant que leader dans le domaine du sport. L’organisation est enthousiaste à l’idée de poursuivre ses engagements en faveur de l’autonomisation des leaders et espère bénéficier de manière significative des contributions de Natalie.
Avec l’arrivée de nouveaux membres au conseil d’administration, l’organisation fait ses adieux à Rebecca Shanks, qui a servi avec excellence pendant trois mandats. Au cours de ces six années, Rebecca a contribué à définir une nouvelle orientation stratégique forte pour l’organisation. En tant que membre du comité de marketing et de génération de revenus, Rebecca a joué un rôle crucial dans le lancement de la nouvelle marque en 2020. Elle a également dirigé le renouvellement et la diversification de notre conseil d’administration en tant que présidente du comité des nominations.
« Je suis ravie que Lara et Natalie apportent leurs compétences et leur expérience au conseil d’administration, alors que nous nous penchons sur le nouveau plan stratégique de l’organisation. Je tiens à remercier Rebecca pour ses formidables contributions qui ont permis de moderniser l’organisation et de la positionner pour un plus grand impact. Nous lui souhaitons le meilleur dans son prochain chapitre. Malgré les défis permanents liés à la COVID-19, nous sommes enthousiastes quant au potentiel du mouvement des femmes et du sport et nous nous engageons à diriger avec un conseil d’administration fort et diversifié. »
Tanya Mruck, présidente du conseil d’administration
Pour obtenir les biographies complètes de tous les membres du conseil d’administration de Femmes et sport au Canada, veuillez consulter notre site Web.
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]]>The post Appel aux organismes de sport et d’activité physique pour offrir le programme de leadership Au jeu appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Avant la COIVD- 19, jusqu’à 62 % des filles canadiennes ne participaient à aucune forme de sport et d’activité physique pendant l’adolescence (Femmes et sport au Canada, rapport Le signal de ralliement, [2020]). Aujourd’hui, une fille canadienne sur quatre qui était physiquement active auparavant ne s’engage pas à reprendre le sport après la COVID (Femmes et sport au Canada, étude – alerte COVID, 2021). Non seulement les filles qui abandonnent le sport prématurément ne profitent pas de tous les avantages de leur participation, mais cela limite également le bassin de futures entraîneures et dirigeantes sportives potentielles qui contribueraient à accroître la représentation des femmes dans les postes de direction et à engager et retenir la prochaine génération de filles dans le sport (Femmes et sport au Canada, Engagement actif, 2012). Au cours de huit séances hebdomadaires, Au jeu combine une programmation axée sur les filles avec des possibilités de formation en leadership afin d’accroître la valeur perçue du sport, les liens sociaux et les compétences en leadership des participantes. Ces facteurs sont essentiels pour aider à garder les filles dans le sport (Femmes et sport au Canada, Engagement actif, 2012).
Après la conclusion de deux projets pilotes réussis, les leaders de sport ont observé que les relations de leurs participantes en tant que coéquipières et amies se sont renforcées et que leur compréhension du rôle positif que le sport peut jouer dans leur vie a augmenté :
« Les filles semblent être beaucoup plus proches en tant qu’équipe et travailler ensemble. Ce ne sont pas seulement leurs petites cliques, il y a beaucoup plus de liens que je peux voir. »
« Nos participantes ont acquis une meilleure appréciation de ce que le sport leur a apporté. »
« Je peux voir une différence dans le fait que [les participantes] sont plus confiantes et ne se concentrent pas tant sur la comparaison avec les autres mais plutôt sur leur propre développement. »
Au jeu est un programme s’adresse aux filles âgées de 14 à 18 ans et peut être dispensé :
Les organisations participantes bénéficieront des avantages suivants :
Calendrier du programme :
Vous souhaitez participer?
La date limite de dépôt des candidatures est le vendredi 5 novembre 2021 à 23 h 59 (heure de l’Est).
Pour toute question, veuillez contacter Vanessa Wallace, coordonnatrice de programme, à l’adresse [email protected].
Remerciements :
Au jeu a d’abord été un projet pilote en partenariat avec MLSE (Maple Leaf Sports and Entertainment) Launchpad en 2019. Ce projet est financé par le gouvernement du Canada.
The post Appel aux organismes de sport et d’activité physique pour offrir le programme de leadership Au jeu appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>The post Annonce des critères et du calendrier du Fonds WISE 2022 appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Avec le soutien de Sport Canada, le Fonds WISE 2022 accordera à nouveau 2 500 $ à 45 organismes pour faire progresser l’équité entre les genres dans le sport canadien.
Les demandes de subvention pour 2022 seront ouvertes le mardi 12 octobre et se termineront le mardi 2 novembre 2021. Pour en savoir plus sur les critères de la subvention, visitez notre page Processus de demande de fonds WISE.
Le Fonds WISE 2021 en bref :
Veuillez lire notre Guide de candidature 2022 pour plus d’informations.
Nous avons ouvert une consultation virtuelle de 15 minutes avec notre personnel pour répondre à toute question concernant votre demande ou le processus. Pour vous inscrire à un créneau, cliquez ici.
Téléchargez notre guide de demande 2022 ici!
Pour vous inspirer et en savoir plus sur les initiatives précédentes soutenues par le Fonds WISE, consultez nos études de cas :
The post Annonce des critères et du calendrier du Fonds WISE 2022 appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>The post Bulletin octobre : NOUVELLES occasions disponibles pour donner vie à votre vision d’équité entre les genres appeared first on Femmes et sport Canada.
]]>Femmes et sport au Canada a un mois bien rempli d’opportunités disponibles pour les organismes de sport et d’activité physique!
La plus remarquable? Notre subvention 2022 du Fonds WISE ouvre AUJOURD’HUI! Le manque de financement consacré à la création d’occasions équitables pour les femmes et les filles de participer et de diriger dans le système sportif est un obstacle à la réalisation de l’équité entre les genres au Canada. Depuis 2004, Femmes et sport au Canada a accordé plus de 300 000 $ en subventions par l’entremise de son Fonds WISE à des leaders et à des organismes de partout au Canada afin de combler cette lacune.
Avec le soutien de Sport Canada, le Fonds WISE 2022 accordera à 45 organismes 2 500 $ pour faire progresser l’équité entre les genres dans le sport canadien – aidant ainsi Femmes et sport au Canada à concrétiser sa priorité clé d’approfondir son travail sur l’équité entre les genres auprès des organismes de sport.
Pour en savoir plus sur qui doit faire une demande et comment, visitez la page Processus de sélection ou téléchargez le Guide de demande 2022. Vous avez d’autres questions? Consultez la Foire aux questions ou contactez la coordonnatrice de programme, Vanessa Wallace, à l’adresse [email protected]. Nous avons ouvert une consultation virtuelle de 15 minutes avec notre personnel pour répondre à toutes les questions concernant votre candidature ou le processus. Pour vous inscrire à un créneau, cliquez ici.
Les candidatures sont ouvertes du 12 octobre au 2 novembre à 23 h 59 HE.
Que se passe-t-il à Femmes et sport au Canada en octobre?
Pendant que vous êtes ici…
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